Onglet C : Sujet concernant INFC

Table des matières

Plan Investir dans le Canada

Messages clés

  • Grâce au plan Investir dans le Canada, nos investissements dans les infrastructures génèrent une croissance économique, créent de bons emplois dans la classe moyenne et bâtissent des collectivités fortes, vertes et inclusives où les Canadiens peuvent vivre et travailler.
  • Nous avons déjà engagé plus de 65,1 milliards de dollars en fonds fédéraux et investi dans plus de 52 000 projets qui améliorent la vie des Canadiens grâce à un meilleur accès à des logements abordables, à l’eau potable, aux autoroutes, aux centres communautaires et aux transports en commun.
  • Notre gouvernement a investi dans des projets qui créent de bons emplois et soutiennent la transition en cours de notre pays vers une croissance économique propre. Nous nous appuyons sur ces succès et continuons de travailler avec tous les partenaires pour mettre le plan pleinement en œuvre.
  • Grâce à la collaboration avec nos partenaires, notre plan continuera d’aider les collectivités de toutes tailles à mettre en place les infrastructures publiques dont elles ont besoin pour assurer un avenir meilleur à tous les Canadiens.

Contexte

  • Le plan Investir dans le Canada (le plan) est le plan d’infrastructure à long terme du gouvernement fédéral qui a été annoncé dans le budget de 2016, puis mieux défini dans l’Énoncé économique de l’automne 2016 et le budget de 2017 ainsi que dans le budget de 2019, plus récemment. Le Plan offre un cadre stratégique unique et consolidé afin de guider la distribution de plus de 180 millions de dollars d’investissement fédéral dans l’infrastructure en 12 ans.
  • Le plan Investir dans le Canada comprend 95,6 milliards de dollars en nouveau financement pour les programmes d’infrastructure, annoncés dans les budgets de 2016 et 2017. De plus, le plan est conçu pour injecter 92,2 milliards de dollars dans les programmes annoncés avant le budget de 2016, et ce, par l’entremise de mécanismes de financement tels que le Fonds de la taxe sur l’essence fédéral et le Nouveau Fonds Chantiers Canada.
    • Le budget de 2016 prévoyait 14,4 milliards de dollars pour accélérer les investissements fédéraux à court terme en finançant la remise en état, la réparation et la modernisation des infrastructures sociales, vertes et de transport en commun existantes, ainsi que pour l’éducation postsecondaire et l’accès à large bande dans les collectivités éloignées. Tous les programmes prévus dans le budget de 2016 dans le cadre du plan ont été achevés.
    • Le budget de 2017 a permis des investissements supplémentaires de 81 milliards de dollars de nouveaux dans cinq secteurs prioritaires au cours de la prochaine décennie : transport en commun, infrastructures vertes, infrastructures sociales, commerce et transport, collectivités rurales et nordiques. Tous les programmes du budget de 2017 ont été lancés. À ces programmes s’ajoute le Financement vert réservé de 2 milliards de dollars, actuellement retenu par Finances Canada pour de futures décisions en matière de financement, annoncé dans le budget de 2019.
  • À ce jour, 52 000 projets ont été approuvés dans le cadre du plan. Au total, plus de 65 milliards de dollars ont été engagés pour des projets nouveaux et existants. Ces données, ainsi que l’information sur le nombre estimé de projets lancés et le montant des fonds versés, sont publiées sur le site Web d’Infrastructure Canada dans le tableau « Mise à jour sur le financement et la mise en œuvre ». En outre, grâce à la carte des projets du plan Investir au Canada, les Canadiens peuvent repérer et trouver de l’information plus détaillée sur les projets en cours dans leurs collectivités.
  • Le Programme d’infrastructure Investir dans le Canada (PIIC) constitue la pierre angulaire des programmes d’Infrastructure Canada mis en œuvre dans le cadre du plan Investir dans le Canada. Géré dans le cadre d’accords bilatéraux intégrés, ce programme de financement de 33,1 milliards de dollars d’une durée de dix ans favorise une collaboration étroite entre tous les ordres de gouvernement.
  • Dans le cadre de ce programme, INFC a signé des ententes bilatérales intégrées avec tous les gouvernements provinciaux et territoriaux afin d’assurer un financement stable et prévisible de 33,1 milliards de dollars qui générera des retombées économiques, sociales et environnementales pour les générations à venir.
  • Le 28 janvier 2020, la Chambre des communes a adopté une motion de l’opposition officielle demandant un audit du PIIC par le Bureau du vérificateur général (BVG). Le BVG a accepté d’effectuer l’audit demandé et prévoit de le lancer d’ici le printemps.

Ententes bilatéraux intégrés

Sujet

Le Programme d’infrastructure Investir dans le Canada (PIIC), d’une valeur de 33,1 milliards de dollars, offre un financement stable à long terme destiné aux initiatives d’infrastructures publiques pancanadiennes.

Messages clés

  • Grâce aux ententes signées entre le Ministère et les provinces et territoires, Infrastructure Canada consacre 33,1 milliards de dollars en financement à des projets d’infrastructure liés au transport en commun, à l’écologie, aux collectivités, à la culture et aux loisirs ainsi qu’aux régions rurales et nordiques d’un océan à l’autre.
  • Les provinces et territoires collaborent avec les municipalités et les collectivités autochtones pour recenser et présenter des projets par ordre de priorités à l’examen et à l’approbation du gouvernement fédéral.
  • Une fois les projets approuvés, les partenaires peuvent sans délai les mettre en œuvre et commencer à dépenser.

Contexte

  • Le Programme d’infrastructure Investir dans le Canada (PIIC) constitue la pierre angulaire des initiatives de financement d’Infrastructure Canada à l’appui du plan global Investir dans le Canada. Ce programme décennal axé sur les allocations favorise une étroite collaboration entre tous les ordres de gouvernement en en favorisant l’atteinte des objectifs d’une manière qui accorde une certaine marge de manœuvre et qui tient compte de contextes locaux, provinciaux et territoriaux uniques tout en appuyant la prise de décisions locale et régionale dans le domaine des infrastructures publiques. Les provinces et les territoires, en consultation avec les municipalités et les collectivités autochtones, ont pour responsabilités de recenser et de présenter des projets par ordre de priorité, puis d’attribuer les fonds aux bénéficiaires admissibles finaux.
  • Le PIIC, géré par l’intermédiaire d’ententes bilatérales intégrées (EBI), est divisé en quatre volets : transport en commun (20,1 milliards de dollars), infrastructures vertes (9,2 milliards de dollars), infrastructures communautaires, culturelles et récréatives (1,3 milliard de dollars) et infrastructures des régions rurales et nordiques (2 milliards + 400 millions de dollars).
  • Les projets présentés doivent viser au moins un résultat immédiat du programme. Ils doivent également répondre à des exigences supplémentaires du programme, notamment des exigences et des exclusions propres à chaque volet ainsi que des exigences fédérales horizontales (par exemple, l’Optique des changements climatiques et les avantages communautaires en matière d’emploi). Les provinces et territoires, en consultation avec les municipalités et les collectivités autochtones, bénéficient d’une plus grande souplesse pour présenter des projets d’infrastructure qui répondent à leurs besoins, tout en contribuant aux objectifs fédéraux.
  • On a ajouté au plan un élément obligeant les provinces et les territoires à présenter des plans annuels triennaux élaborés en consultation avec les gouvernements locaux et les partenaires autochtones.
  • Ces plans décrivent en quoi les investissements des provinces et des territoires dans les infrastructures contribueront aux résultats stratégiques du gouvernement fédéral, définissent leur approche et leurs priorités pour le PIIC, établissent l’ordre de priorité des projets qu’ils ont l’intention de présenter pour approbation ainsi que rendent compte des progrès accomplis au cours de l’année précédente.
  • INFC collabore avec les provinces et les territoires pour amorcer un processus de planification plus transparent et axé sur les résultats ainsi que pour voir à ce que leurs priorités dans le cadre du PIIC soient clairement définies.

Fonds d’atténuation et d’adaptation en matière de catastrophes

Sujet

Le Fonds d’atténuation et d’adaptation en matière de catastrophes est un programme destiné à renforcer la résilience des collectivités canadiennes par des investissements dans des projets de grande envergure, y compris des projets d’infrastructure naturelle, qui leur permettront de mieux gérer les risques associés aux catastrophes naturelles actuelles et futures, comme les inondations, les feux de forêt et les sécheresses.

Messages clés

  • Les changements climatiques ont des répercussions importantes sur les collectivités canadiennes d’un océan à l’autre. Plus que jamais, les collectivités doivent prendre des mesures pour atténuer les conséquences qu’ont les catastrophes naturelles, comme les inondations et les feux de forêt, sur leurs résidents.
  • Les investissements de 2 milliards de dollars du Fonds d’atténuation et d’adaptation en matière de catastrophes destinés aux grandes infrastructures de nos collectivités aideront celles-ci à mieux se préparer aux coûts financiers et humains de ces aléas.
  • À ce jour, 59 projets ont été annoncés dans le cadre du Fonds dans des collectivités de toutes les régions du Canada, comme Surrey (C.-B.), la municipalité régionale de York (Ontario), Montréal (Québec) et Saint John (N.-B.). Ces projets aideront les collectivités à accroître leur résilience aux répercussions des changements climatiques. Le FAAC consacre plus de 834 millions de dollars à 30 projets situés dans des collectivités de moins de 100 000 habitants.
  • Au cours de l’année à venir, Infrastructure Canada s’appuiera sur le succès de son premier contingent et lancera un nouvel appel de propositions pour aider les collectivités de toutes tailles à composer avec les conséquences possibles des catastrophes dues aux changements climatiques et aux phénomènes météorologiques extrêmes.

Contexte

  • Le Fonds d’atténuation et d’adaptation en matière de catastrophes (FAAC) a été lancé le 17 mai 2018. Le FAAC est un programme national de 2 milliards de dollars fondé sur le mérite qui soutient des projets d’infrastructure à grande échelle afin d’aider les collectivités à mieux se préparer et à mieux résister aux répercussions possibles des catastrophes naturelles, à prévenir les défaillances des infrastructures et à protéger les Canadiens et leurs foyers.
  • Le FAAC prévoit un processus de demande en deux étapes : la première est la déclaration d’intérêt, et la deuxième, la demande complète.
  • La période de la déclaration d’intérêt pour la première phase s’est terminée le 31 juillet 2018. Les projets proposés dans ces déclarations d’intérêt portaient sur les risques liés à un large éventail de dangers naturels, notamment les inondations, les conditions météorologiques extrêmes, le dégel du pergélisol, les vagues déferlantes et les feux incontrôlés. Le Ministère a reçu des déclarations d’intérêt de candidats de l’ensemble des provinces et des territoires. Les projets d’atténuation des catastrophes représentent une forte proportion des déclarations d’intérêt, dont le volume a été largement supérieur au financement disponible.
  • En octobre, Infrastructure Canada a invité les candidats admissibles à présenter leur demande complète avant le 11 janvier 2019. En raison de la forte participation au programme, seuls les projets admissibles dont la construction a commencé en 2019 ou en 2020 ont été invités à présenter une demande complète. La majorité de ces projets concernent les inondations, mais d’autres projets portent sur les incendies de forêt, l’érosion, les séismes et d’autres risques. [caviardé]
  • Dans la foulée des inondations et des incendies du printemps 2019, le ministre de l’Infrastructure et des Collectivités a invité les régions touchées par ces catastrophes à présenter des projets en dehors du processus concurrentiel de la FAAC. Quatorze projets en Ontario, au Québec et dans les Territoires du Nord-Ouest ont ensuite été approuvés dans le cadre du FAAC.
  • Les projets du FAAC favorisent l’atteinte des objectifs du gouvernement énoncés dans le Cadre pancanadien sur la croissance propre et les changements climatiques.
  • Les investissements effectués par l’intermédiaire du FAAC devraient avoir une incidence positive sur les accords d’aide financière en cas de catastrophe (c’est-à-dire entraîner une diminution des paiements par l’intermédiaire des AAFCC). Ces investissements devraient permettre de réduire les conséquences financières et humaines des risques naturels toujours plus nombreux provoqués ou exacerbés par les changements climatiques.
  • Infrastructure Canada travaille actuellement sur les détails afin de respecter l’engagement pris dans la lettre de mandat de lancer un deuxième appel de propositions pour aider les collectivités, qu’elles soient de petite taille, rurales et autochtones ou de grands centres urbains, à faire face aux répercussions prévues des catastrophes provoquées par les risques naturels et les répercussions découlant des changements climatiques.

Financement

Le gouvernement a annoncé tous les projets approuvés jusqu’au printemps et à l’été 2019. En date du 18 février 2020, la FAAC a financé les 59 projets suivants, représentant 1 759 millions de dollars de financement fédéral :

Colombie-Britannique (6 projets)

Bénéficiaire Sommaire du projet Contribution fédérale
Première Nation Skwah Nouvelle digue/barrière contre les inondations pour protéger la Premìère Nation Skwah, le village de Shxwhá:y et la ville de Chilliwack. 45 000 000 $
Ville de Kelowna Protection contre les inondations dues aux crues du ruisseau Mill 22 000 000 $
Ville de Victoria Infrastructure souterraine résiliente au climat et aux séismes 15 393 320 $
Ville de Richmond Protection de Richmond contre les inondations 13 780 000 $
Ville de Surrey Protection des villes de Surrey et de Delta ainsi que de la Première Nation Semiahmoo contre les inondations côtières 76 602 850 $
Chambre de commerce de la municipalité de Grand Forks Atténuation des inondations à Grand Forks et dans le district régional de Kootenay Boundary 19 987 653 $

Alberta (4 projets)

Bénéficiaire Sommaire du projet Contribution fédérale
Province de l'Alberta Réservoir hors cours d’eau de Springbank (SR1) 168 500 000 $
Municipalité de Canmore Atténuation des inondations dues aux crues de plusieurs ruisseaux à flanc de montagne dans la vallée de la Bow 13 760 000 $
Ville de Drumheller Système d’atténuation des inondations et d’adaptation au changement climatique de Drumheller 22 000 000 $
Ville de Edmonton Zones tampons riveraines et urbaines pour l’atténuation des inodation 53 766 000 $

Saskatchewan (5 projets)

Bénéficiaire Sommaire du projet Contribution fédérale
Ville de Meadow Lake Remplacement des égouts et déplacement de l’étang d’épuration de Meadow Lake 8 000 000 $
Saskatchewan Power Corporation Réduction des risques d’incendies de forêt et renforcement des capacités dans le Nord de la Saskatchewan 19 802 475 $
Ville de Saskatoon Stratégie de lutte contre les inondations 21 600 000 $
Governement de la Saskatchewan Réduction des risques d’incendie de forêt et résilience communautaire en Saskatchewan 20 493 825 $
Governement de la Saskatchewan Amélioration du corridor de l’autoroute 55 12 500 000 $

Manitoba (2 projets)

Bénéficiaire Sommaire du projet Contribution fédérale
Administration de l’aéroport régional de Thompson Réaménagement des bâtiments de l’aérogare 23 200 000 $
Gouvernement Manitoba Canaux de sortie du lac Manitoba/lac St. Martin (annoncés en 2018)* 247 500 000 $

Ontario (23 projets)

Bénéficiaire Sommaire du projet Contribution fédérale
Ville de Markham Projet de lutte contre les inondations (chenal Don Mills, West Thornhill, centre communautaire de Thornhill) 48 640 000 $
Corporation de la Ville de Sarnia Séparation des égouts unitaires – atténuation des inondations et des débordements 10 412 000 $
Municipalité régionale de York Atténuation des débordements à la station de pompage des eaux usées d’Aurora 8 280 000 $
Municipalité régionale de York Mise en valeur et restauration d’une forêt urbaine 10 136 000 $
Municipalité régionale de York Jumelage des conduites de refoulement du réseau d’égout de York et de Durham 48 000 000 $
Ville de Toronto Construction de l’égout pluvial de secours du quartier Midtown de Toronto pour la protection des sous-sols contre les inondations 37 160 000 $
Ville de Toronto Construction du réseau d’égout pluvial principal de Fairbank-Silverthorn pour lutter contre les inondations et réduire les débordements 73 200 000 $
Ville de Toronto Rétablir, assainir et renforcer la résilience de la canopée des arbres et des structures riveraines de Toronto 11 989 186 $
Ville de Toronto Remise en état de ponceaux (2020-2021)* 8 738 800 $
Ville de Vaughan De moyen à génial – Atténuation des inondations dues aux eaux pluviales dans la région de Vaughan 16 588 299 $
Ville de Hamilton Ensemble de projets – tempêtes extrêmes – la résilience pour protéger le littoral 12 686 000 $
Office de protection de la nature de la rivière Upper Thames Reconstruction de la digue de West London 10 000 000 $
Corporation de la Ville de Windsor Initiative d’atténuation des catastrophes et d’amélioration de l’infrastructure 32 090 691 $
Municipalité de Chatham-Kent Atténuation des inondations le long des rivières Thames et Sydenham 16 575 200 $
Corporation de la Ville de Kitchener Adaptation du réseau d’eaux pluviales 49 990 000 $
Ville du Grand Sudbury Améliorations visant à atténuer et maîtriser les inondations dans le bassin versant du ruisseau Junction 8 840 000 $
Office de protection de la nature de Toronto et des environs Gestion du risque d’érosion des ravins et d’atténuation des risques liés à l’érosion des ravins de la région de Toronto 22 311 578 $
Office de protection de la nature de Toronto et des environs TAtténuation des risques d’érosion du secteur riverain de Toronto* 33 794 667 $
Ville de Thunder Bay Atténuation des inondations dans la collectivité 13 249 200 $
Mohawks de la baie de Quinte Projet de réduction des risques de la sécheresse sur le territoire des Mohawks de la baie de Quinte 30 093 216 $
Ville de Kingston Travaux de protection du littoral* 9 806 191 $
Ville de Kingston Infrastructure de séparation des égouts et de gestion des eaux pluviales* 10 400 000 $
Office de protection de la nature de la région de Sainte-Claire Remise en état des rives du lac Huron et de la rivière Sainte-Claire* 8 000 000 $

Quebec (10 projets)

Bénéficiaire Sommaire du projet Contribution fédérale
Ville de Montréal Construction d’un ouvrage de rétention visant la diminution des surverses lors de pluies abondantes (ouvrage St-Thomas) 21 280 000 $
Ville de Montréal Construction d’ouvrages de rétention pour le contrôle des débordements et des surcharges des réseaux unitaires lors de pluies abondantes 33 060 400 $
Ville de Montréal Protection des émissaires de débordement contre le refoulement provoqué par les inondations liées à l'augmentation des crues ou aux pluies abondantes (Pierrefonds-Roxboro) * 50 000 000 $
Gouvernement du Québec Réhabilitation du tronçon ferroviaire de la Gaspésie : Port-Daniel-Gascons à Gaspé 45 815 200 $
Gouvernement du Québec Projet d’intervention pour protéger la route 132 contre les aléas côtiers 13 200 500 $
Ville de Victoriaville Protection et sécurisation de l'approvisionnement en eau potable dans le réservoir Beaudet de la Ville de Victoriaville * 16 000 000 $
Ville de Gatineau Bassin versant du Ruisseau Wabassee * 22 510 000 $
Ville de Sainte-Marthe-sur-le-Lac Travaux de réfection, renforcement, rehaussement, imperméabilisation de la digue de la Ville de Sainte-Marthe-sur-le-Lac * 19 726 000 $
Ville de Deux-Montagnes Ouvrages de protection contre les inondations pour le secteur du lac des Deux-Montagnes (Oka, Pointe-Calumet, St-Joseph-sur-le-lac) * 17 949 080 $
Ville de Deux-Montagnes Ouvrages de protection contre les inondations pour le secteur de la rivière des Mille Iles (St-Eustache, Rosemère, Boisbriand) * 11 515 720 $

Nouveau-Brunswick (3 projets)

Bénéficiaire Sommaire du projet Contribution fédérale
Ville de Saint John Stratégie d’atténuation des inondations : Mur de protection, stations de pompage, infrastructures essentielles de services publics d’électricité au bord de l’eau 11 916 074 $
Province de New Brunswick Autoroute de dégagement no 11 du Nouveau Brunswick : Amélioration des ponceaux et mesures d’atténuation 13 573 000 $
Ville de Fredericton Multiples projets d’infrastructures naturelles et structurelles pour s’adapter aux crues fluviales et pluviales à Fredericton 11 400 000 $

Nouvelle-Écosse (2 projets)

Bénéficiaire

Sommaire du projet

Contribution fédérale

Gouvernement de la Nouvelle-Écosse – ministère de l’Agriculture Construction de digues pour protéger les collectivités des impacts des inondations côtières 24 997 500 $
Gouvernement de la Nouvelle-Écosse – ministère des Transports et du Renouvellement de l’infrastructure Amélioration des digues pour protéger la ville de Windsor, Falmouth et ses environs contre les inondations côtières de la baie de Fundy 32 000 000 $

Terre-Neuve-et-Labrador (1 projet)

Bénéficiaire Sommaire du projet Contribution fédérale
Gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador Remplacement des ponts des autoroutes provinciales 15 180 000 $

Northwest Territories (3 projets)

Bénéficiaire Sommaire du projet Contribution fédérale
Ville de Yellowknife Atténuation des risques d’inondation dans la région de Yellowknife 25 862 218 $
Gouvernement des Territoires du Nord-Ouest Adaptation des structures de surface de l’aéroport d’Inuvik pour la résilience aux changements climatiques 16 500 000 $
Gouvernement des Territoires du Nord-Ouest Augmenter la capacité de stockage de carburant pour atténuer l’incidence des incendies sur le public et les services essentiels 21 750 000 $

Fonds de la taxe sur l’essence

Sujet

Le Fonds de la taxe sur l’essence du gouvernement fédéral est un programme de financement permanent, prescrit par la loi et indexé, qui offre actuellement 2,2 milliards de dollars par année pour financer les infrastructures municipales. Il s’agit du programme le plus populaire d’Infrastructure Canada auprès des municipalités dans l’ensemble du pays, et le secteur municipal a maintes fois réclamé l’augmentation des fonds fédéraux versés dans le cadre de ce type de programmes fondés sur des transferts.

  • Le Fonds fédéral de la taxe sur l’essence est doté de plus de 2,2 milliards de dollars de financement stable et prévisible destiné aux collectivités de toutes tailles à l’échelle du pays pour leurs priorités locales.
  • Les municipalités peuvent rassembler, conserver et emprunter les fonds, et le FTE peut être utilisé pour financer des projets dans 18 catégories différentes. Chaque année, le programme soutient environ 4 000 projets dans 3 600 collectivités.
  • Dans son budget de 2019, le gouvernement a prévu un transfert ponctuel de 2,2 milliards de dollars, le double du montant qu’il s’était engagé à verser chaque année aux municipalités canadiennes.
  • Ce complément permet de répondre aux priorités à court terme et aux fonds d’infrastructure indispensables pour les collectivités de toutes tailles, y compris les collectivités des Premières Nations, dans l’ensemble du Canada.

Contexte

  • Le Fonds de la taxe sur l’essence (FTE) a été constitué en 2005 et visait à l’origine à offrir aux municipalités un financement prévisible de 5 milliards de dollars en cinq ans. Le programme a été prolongé et est devenu, par voie législative, une source permanente de financement fédéral pour les infrastructures des municipalités. Le FTE fédéral (dont l’entente de transfert a été conclue en 2014) a été indexé à raison de 2 % par an, par tranche de 100 millions de dollars. De 2014 à 2024, le FTE allouera près de 22 milliards de dollars aux municipalités pour financer les infrastructures.
  • Chaque exercice, Infrastructure Canada effectue deux versements égaux à chaque signataire. Par la suite, le Ministère verse deux paiements égaux à chaque signataire.
  • Les subventions sont calculées en fonction du nombre d’habitants des provinces, des territoires et des Premières Nations, auxquels s’ajoute un financement de base pour les petites administrations (Île-du-Prince-Édouard et chaque territoire). L’allocation du FTE est indexée à 2 % par an et est versée par tranche de 100 millions de dollars (environ tous les deux ans). La répartition des fonds par administration ajustée tous les 5 ans en fonction des nouvelles données du recensement. Les fonds alloués pour 2019-2024 ont été communiqués aux signataires de l’accord et affichés sur le site Web d’Infrastructure Canada.
  • Il existe une large gamme de catégories admissibles, notamment le transport en commun, les routes locales et les ponts, les infrastructures d’alimentation en eau potable et de traitement des eaux usées, les réseaux d’énergie dans les collectivités, la culture, les loisirs, l’atténuation des catastrophes et le renforcement des capacités.
  • Il convient de mentionner que les investissements dans l’amélioration de l’efficacité énergétique des bâtiments municipaux sont admissibles dans la catégorie des systèmes énergétiques communautaires.
  • [caviardé]

Banque de l’infrastructure du Canada

Sujet

La Banque de l’infrastructure du Canada (BIC) est une société d’État qui représente un moyen novateur de financer de nouveaux projets d’infrastructure et de favoriser les partenariats entre les gouvernements et les investisseurs privés et institutionnels.

Messages clés

  • La BIC permet d’optimiser l’utilisation des fonds publics grâce à l’aide fédérale pour mobiliser les investissements du secteur privé, ce qui permet de multiplier les projets.
  • La BIC travaille avec les provinces, les territoires, les municipalités et participe actuellement à 25 projets à l’échelle du Canada dans des secteurs clés.
  • L’élaboration de grands projets de transformation demande du temps, et lorsqu’ils sont complexes et visent aussi l’atteinte d’objectifs de politiques publiques, les étapes de planification et de structuration nécessitent des conseils éclairés.
  • La BIC voit grand et travaille avec les autres ordres de gouvernement à long terme pour offrir plus d’infrastructures aux Canadiens et réduire le fardeau des contribuables.

Contexte

  • La BIC est une société d’État créée en juin 2017, devenue opérationnelle à la fin de l’année 2017. Cette société a son siège à Toronto et relève du Parlement par l’entremise du ministre de l’Infrastructure et des Collectivités.
  • En vertu de la loi, la BIC a pour mission de faire des investissements et de chercher à attirer des investisseurs du secteur privé et d’investisseurs institutionnels dans des projets d’infrastructures situés au Canada ou en partie au Canada qui généreront des recettes et qui seront dans l’intérêt public, par exemple en soutenant des conditions favorables à la croissance économique ou en contribuant à la viabilité de l’infrastructure au Canada.
  • Le gouvernement doit établir l’orientation politique générale et les grandes priorités d’investissement pour guider les activités de la BIC. Depuis son lancement, la BIC travaille activement avec tous les ordres de gouvernement sur leurs plans d’infrastructure ainsi qu’avec des investisseurs potentiels pour déterminer quels projets sont susceptibles de faire l’objet d’un investissement. Son premier investissement a été annoncé en août 2018 et a atteint la phase de clôture de son financement.
  • En outre, la BIC met au point une filière nationale de projets sur cinq ans, un inventaire qui vise à promouvoir la transparence et la planification à long terme et à présenter les projets aux investisseurs potentiels. La Banque se concentre sur les secteurs du commerce et des transports, du transport public, de la large bande et de l’énergie verte et propre, dans lesquels il est sensé pour la BIC de s’associer à des projets qui font progresser l’intérêt public.
  • Le gouvernement a autorisé des investissements de 35 milliards de dollars en 11 ans, selon les besoins, pour participer à des ententes d’infrastructure complexes de façons novatrices. On s’attend à ce que la BIC gère son portefeuille de sorte que les dépenses totales demeurent inférieures à 15 milliards de dollars. La BIC travaillera avec les promoteurs des projets qui décideront du moment où ils divulgueront l’information publiquement.
  • [caviardé]
  • À ce jour, la BIC a consacré 3,6 milliards de dollars à quatre projets : le REM, le corridor GO On, le nouveau terminal à conteneurs de Contrecœur, et les installations d’aqueduc et d’égout de Mapleton. Au cours des deux derniers exercices financiers, la BIC a puisé 514,9 millions de dollars en capital afin d’appuyer ses investissements et 40,4 millions de dollars pour ses opérations et renforcer ses capacités internes de base dans des domaines comme la haute direction et la gestion, les systèmes financiers et comptables, les services juridiques, l’informatique et les communications.

Directeur Parlementaire du Budget

Sujet

Premier rapport annuel du Directeur Parlementaire du Budget (DPB) sur le plan Investir dans le Canada

Messages clés

  • Infrastructure Canada a travaillé avec le DPB pour voir à ce qu’il dispose de l’information la plus récente pour ses rapports. Cette approche collaborative soutient le DPB dans son mandat, qui consiste à rendre compte avec précision aux Canadiens de la manière dont les fonds fédéraux d’infrastructure sont dépensés et des résultats de ces investissements.
  • Sur le site Web d’Infrastructure Canada, les Canadiens peuvent consulter de l’information sur les programmes et les projets financés dans le cadre du plan Investir dans le Canada. Cela comprend de l’information sur le lieu de construction des projets, le nombre de projets qui ont été approuvés et le montant du financement qui a été approuvé à ce jour.
  • Nous avons déjà engagé plus de 65,1 milliards de dollars en fonds fédéraux et investi dans plus de 52 000 projets d’un océan à l’autre, dont la plupart sont en cours ou terminés.
  • Ces projets créent de bons emplois et soutiennent la transition en cours de notre nation vers une croissance économique propre. Nous nous appuyons sur ces succès et continuons à travailler avec tous les partenaires pour mettre le plan pleinement en œuvre.

Contexte

  • À la demande des parlementaires, le DPB a suivi de près la mise en œuvre du plan Investir dans le Canada et a rédigé un certain nombre de rapports très médiatisés sur ce plan. Pendant la préparation de quatre rapports entre mars 2018 et avril 2019, le DPB a soulevé diverses questions concernant le plan.
  • 29 mars 2018 – Rapport d’étape sur la phase 1 du nouveau plan en matière d’infrastructure
  • Ce rapport fait état de retards par rapport aux dépenses fédérales d’infrastructure, à la sélection des projets et aux échéances de départ. En raison de ces retards, le DPB a indiqué que les avantages économiques attendus de la phase 1 du plan étaient inférieurs à ceux prévus au départ par le gouvernement.
  • Le rapport a également indiqué qu’un certain nombre de ministères et d’organismes fédéraux n’ont pas répondu à la demande d’information du DPB concernant leurs dépenses d’infrastructure. Cette absence de réponse a été soulignée dans le rapport et a contribué à l’idée selon laquelle le plan n’était pas bien organisé.
    • Le 19 avril 2018, le ministre de l’Infrastructure et des Collectivités de l’époque a organisé un événement médiatique et a fait le point sur l’état d’avancement du plan.
    • Le ministre a aussi présenté le plan Investir dans le Canada. Le plan d’infrastructure à long terme du Canada, qui contient une description détaillée du plan.
    • Après ce rapport, le Ministère a également publié un tableau indiquant les approbations de projets, les fonds engagés et les remboursements demandés pour tous les programmes du plan. Ce tableau est mis à jour régulièrement, soit au moins une fois par trimestre pour tous les ministères et agences.
  • 22 août 2019 – Rapport d’étape sur la phase 1 du plan Investir dans le Canada
  • Ce rapport a réitéré les conclusions précédentes concernant le retard du financement fédéral par rapport au calendrier du budget de 2016, y compris les avantages
    • Avant la publication de ce rapport, INFC a travaillé en étroite collaboration avec le DPB et les ministères participants pour voir à ce que le DPB reçoive toute l’information demandée, notamment à l’aide d’un formulaire de demande d’information élaboré en fonction du mode de transmission de l’information sur les projets à INFC pour la carte géographique du plan Investir dans le Canada.
    • Par suite de ces efforts, il a pu être constaté que rien n’indique que l’information n’a pas été transmise au DPB.
    • Ce rapport a suscité un échange sur le degré de responsabilité du gouvernement quant au rythme des dépenses d’infrastructure.
  • Du 13 mars 2019 au 9 avril 2019 – mise à jour sur les infrastructures : Investissements dans les provinces/territoires et les municipalités
  • Dans deux rapports, le DPB a examiné les investissements de capitaux effectués par les provinces, les territoires et cinq municipalités (Toronto, Ottawa, Calgary, Edmonton et Montréal) dans le but de déterminer l’effet cumulé du plan sur leurs dépenses.
  • Pour les besoins de ces rapports, le DPB a utilisé les chiffres consolidés des dépenses en capital des provinces, territoires et municipalités. Ces chiffres englobent des dépenses importantes qui ne sont pas prévues par les programmes fédéraux, dont celles des hôpitaux et des écoles.
  • Le Ministère a travaillé avec les responsables provinciaux et territoriaux pour mettre au point une méthodologie rigoureuse visant à déterminer s’il y a eu un transfert de population. Étant donné la longue période visée par le plan, il ne sera pas possible de déceler un transfert de population avant un certain nombre d’années.

Défi des villes intelligentes

Sujet

Le Défi des villes intelligentes encourage les collectivités de toutes tailles, y compris les collectivités autochtones, à utiliser les données et les technologies connectées pour obtenir des résultats importants pour leurs résidents et améliorer la qualité de vie de tous les Canadiens.

Messages clés

  • Ce défi est un excellent exemple d’innovation communautaire, où les résidents sont invités à définir leurs besoins et les possibilités de résoudre les problèmes locaux à l’aide de données et de technologies connectées. En réponse à ce défi, des collectivités de l’ensemble du Canada se sont mobilisées autour de causes communes.
  • Le processus a été positif. Les gagnants du premier tour ont été annoncés en mai et amorcent des projets ambitieux. Parmi les finalistes non gagnants, la plupart ont indiqué leur intention de poursuivre leurs projets d’une manière ou d’une autre et de mettre à l’essai des solutions technologiques intelligentes. Certaines des collectivités qui ont participé sont également en contact avec d’autres collectivités confrontées à des défis similaires afin de mettre en commun les leçons tirées et de s’aider mutuellement à innover.
  • Les effets positifs du défi sont renforcés par le Programme de soutien aux collectivités sur les villes intelligentes, qui offre des ressources et un appui aux capacités des collectivités à l’échelle du pays, qu’elles s’appliquent ou non au défi.

Contexte

  • Le Défi des villes intelligentes est un programme expérimental qui encourage les collectivités à communiquer avec leurs résidents les plus créatifs afin d’adopter des approches nouvelles et novatrices pour résoudre les problèmes civiques. Ce défi pancanadien est ouvert aux collectivités de toutes tailles ainsi qu’aux collectivités rurales et autochtones.
  • Le défi, axé sur les résultats, encourage les collectivités à définir le(s) résultat(s) qu’elles visent en adoptant une « approche des villes intelligentes », c’est-à-dire une approche qui repose sur l’innovation, les données et les technologies connectées pour améliorer la vie des résidents.
  • Afin d’encourager les collectivités à trouver des idées audacieuses et novatrices, Infrastructure Canada a utilisé un programme fondé sur le modèle du défi. Les finalistes étaient en lice dans les trois catégories de prix suivantes : un prix de 50 millions de dollars ouvert aux collectivités de toutes tailles; deux prix de 10 millions de dollars ouverts à toutes les collectivités de moins de 500 000 habitants et un prix de 5 millions de dollars ouvert à toutes les collectivités de moins de 30 000 habitants. L’équipe du Défi des villes intelligentes collabore toujours avec Services aux Autochtones Canada pour mettre en commun les leçons apprises et contribuer à la mise au point de la nouvelle Initiative d’innovation pour la construction de logements dans les communautés autochtones.
  • Dans le cadre du premier cycle du défi, Infrastructure Canada a reçu 130 demandes de plus de 225 collectivités de l’ensemble des provinces et territoires, de petites villes, de grandes villes et de collectivités autochtones. De ce nombre, 44 % des demandes provenaient de petites collectivités rurales. En outre, 24 des demandes (18 %) provenaient de collectivités autochtones, et la demande du Nunavut est soutenue par les 25 collectivités du territoire.
  • Les gagnants du premier concours du défi ont été annoncés le 14 mai 2019. Les voici :
    • Bridgewater (N.-É.) - prix de 5 millions de dollars - Résoudre le manque d’énergie par des données et des technologies numériquement connectées et redonner aux résidents le contrôle de leurs coûts en matière d’énergie.
    • Collectivités du Nunavut (Nunavut) - prix de 10 millions de dollars - Renforcer la résilience et améliorer la santé mentale des jeunes Nunavummiut par des espaces de fabrication communautaires.
    • Comté de Guelph et Wellington (Ontario) - prix de 10 millions de dollars - Devenir la première économie alimentaire circulaire du Canada en créant de nouvelles possibilités d’affaires circulaires, en transformant les déchets alimentaires en ressources et en améliorant l’accès à des aliments abordables et nutritifs.
    • Montréal (Québec) - prix de 50 millions de dollars - Améliorer la mobilité des résidents des quartiers par une application de transport multimodale et un service de véhicules électriques. Améliorer la sécurité alimentaire par une plateforme numérique intégrée permettant de gérer les stocks, les ventes, les dons et les distributions d’aliments.
  • En outre, Infrastructure Canada a lancé le Programme de soutien aux collectivités sur les villes intelligentes pour appuyer les organismes sans but lucratif qui offriront des services de consultation et de renforcement des capacités aux collectivités afin de les aider à élaborer des approches et des propositions solides pour relever le défi des villes intelligentes. Evergreen, une organisation à but non lucratif, recevra 4,6 millions de dollars en deux ans pour mener des activités dans le cadre de ce programme.
  • Infrastructure Canada a réussi à former un groupe de travail composé de commissaires à la protection de la vie privée fédéral et provinciaux/territoriaux pour solliciter des conseils en matière de protection des renseignements personnels, qui ont permis d’orienter la définition des exigences relatives aux propositions définitives du défi.

Financement

  • Dans le budget de 2017, on a annoncé 300 millions de dollars en 11 ans pour mettre en œuvre le défi, qui devrait demander plus d’un cycle. De ce financement, 15 millions de dollars ont été transférés en 2019-2020 à Services aux Autochtones Canada pour accroître l’incidence de son Initiative d’innovation pour la construction de logements dans les communautés autochtones.

Tableau des provinces et territoires

Programme d’infrastructure Investir dans le Canada

Données en date du 19 février 2020

Province ou territoire Enveloppe de financement des projets Approbation à l’unanimité Enveloppe de financement restante ($) Enveloppe de financement restante ($) À l’étude À l’étude Non alloué (%)
Nombre de projets Contribution du programme Nombre de projets Contribution du programme
C.-B. 3 899 751 950 $ 37 2 215 416 033 $ 1 684 335 917 $ 43 % 92 232 760 521 $ 37 %
Alb. 3 638 926 191 13 2 674 434 145 964 492 046 27 % 2 12 065 418 26 %
Sask. 887 359 777 24 150 680 111 736 679 666 83 % 1 1 200 000 83 %
Man. 1 160 355 392 3 86 771 451 1 073 583 941 93% 0 0 93 %
Ont. 10 316 259 876 121 464 840 185 9 851 419 691 95 % 229 4 549 690 389 51 %
Qc 7 460 578 620 13 2 735,95 814 4 724,625 806 63 % 201 387 107 367 58 %
N.-B. 666 194 495 $ 34 68 644 015 $ 597 550 480 $ 90% 5 9 598 234 $ 88%
N.-É. 820 208 229 $ 32 237 396 782 $ 582 811 447 $ 71 % 0 0 $ 71 %
Î.-P.-É. 359 263 627 $ 47 124 160 359 $ 235 103 268 $ 65 % 4 32 140 86 $ 56 %
T.-N.-L. 552 262 845 $ 146 69 975 068 $ 482 287 777 $ 87 % 6 1 812 437 $ 87 %
T. N.-O. 560 637 400 $ 30 136 097 254 $ 424 540 146 $ 76 % 4 17 527 500 $ 73 %
Nun. 549 638 635 $ 7 216 600 765 $ 333 037 870 $ 61 % 2 25 465 500 $ 56 %
Yn 440 142 926 $ 28 199 395 067 $ 240 747 859 $ 55 % 11 29 588 787 $ 48 %
Total 31 311 579 963 $ 535 9 380 364 049 $ 21 931 215 914 $ 70 % 557 5 298 956 937 $ 53 %